Nous vous invitons à découvrir la contribution d'Essimi Mevegue, et le film Boyz'n the Hood de John Singleton, en ligne jusqu'au 31 août.
Essimi Mevegue :
« Génération Hood movies »
Le film de banlieue, appelé Hood movie aux États-Unis, sous sa forme contemporaine en raison de l’émergence de la culture hip-hop dans les ghettos noirs américains, apparaît entre la fin des années 80 et les débuts des années 90 avec l’arrivée d’une nouvelle vague de cinéastes afro-américains qui vont transformer le regard d’Hollywood sur les Noirs à l’écran.
Pendant plusieurs décennies, les grands studios américains ont ignoré le cinéma afro-américain, qualifié de “race movie”
Découvrez
Boyz’n the Hood de John Singleton.
Jusqu'au 31 août.
Mot de passe :
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« Le projet d’une cinémathèque idéale des banlieues du monde est d’inscrire les mémoires, les histoires issues des quartiers populaires, mais également de compléter une production d’images qui n’a été faite qu’à partir du centre, par des gens qui avaient le pouvoir et le droit aux récits. Il s’agit de raconter, de dessiner, d’archiver ces histoires, qui font partie de l’histoire française, en les plaçant dans un lieu institutionnel d’où elles sont encore largement absentes. C’est combler les trous, les absences, les silences. »
Alice Diop, lors de la table ronde aux Ateliers Médicis, 2021